Ben oui, le succès du contenu Maxi se prolonge.

Maxi a été relancée avec succès en 2016. La bannière d’épicerie était passée à l’époque de « gênante à admettre qu’on y fait l’épicerie » à deuxième marque la plus influente au Québec. On peut donc dire que la mission de gagner le cœur (et une grande part du portefeuille) des Québécois a été réussie.

En musique, on dit que le hit le plus difficile à sortir n’est pas le premier, c’est le deuxième (plusieurs one-hit wonders peuvent en témoigner). L’équivalent pour Maxi : ne pas s’asseoir sur ses lauriers, maintenir le rythme de croisière et garder sa place comme marque dominante au Québec. Considérant que la valeur moyenne annuelle du panier familial d’épicerie s’élève à 12 667 $, on saisit l’enjeu d’affaires que représente la fidélisation de chaque client.

Les consommateurs d’épicerie renouvellent leur décision d’achat hebdomadairement. Pour contrer la lutte féroce que se livrent les bannières à coup de rabais, promotions et circulaires, Maxi cherchait donc à amplifier le brand love des Québécois pour la marque. Quand on aime une marque, on la choisit, on l’endosse et on y est fidèle.

Comme 71 % des consommateurs disent que leurs préférences d’achat sont influencées par ce qu’ils voient sur les médias sociaux, la présence sociale de Maxi devenait donc une priorité afin de soutenir le succès de la marque dans le temps.

Pourquoi se contenter de faire partie de la conversation quand on peut carrément générer la conversation ?

Notre objectif étant que Maxi soit top of mind, le taux d’engagement (implication active du consommateur), la portée de chaque publication (consommateurs en contact avec Maxi) et les impressions (fréquence) sont vitaux pour nous démarquer du bruit communicationnel de la catégorie.

Et c’est mission accomplie.